Pourquoi une éducation pour la pratique de la tolérance ?


Par Rosie Bourget

Quels seraient les éléments nécessaires à une vie paisible dans la diversité des expressions linguistiques, culturelles, ethniques, religieuses et autres  de notre village planétaire, qui nous aideraient à respecter les différences et la dignité de chacun ? S’instruire sur la tolérance et la pratiquer nous semble être une part essentielle de la réponse.

Qu’entend-on par tolérance ? 

La Déclaration de principes sur la tolérance adoptée à Paris en 1995 par les États-Membres de l’Unesco, l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture souligne que : La tolérance est le respect, l’acceptation et l’appréciation de la richesse et de la diversité des cultures de notre monde, de nos modes d’expression et de nos manières d’exprimer notre qualité d’êtres humains. Elle est encouragée par la connaissance, l’ouverture d’esprit, la communication et la liberté de pensée, de conscience et de croyance.

La tolérance est l’harmonie dans la différence. Elle n’est pas seulement une obligation d’ordre éthique ; elle est également une nécessité politique et juridique. La tolérance est une vertu qui rend la paix possible et contribue à substituer une culture de la paix à la culture de la guerre.  La tolérance n’est ni concession, ni condescendance, ni complaisance. La tolérance est, avant tout, une attitude active animée par la reconnaissance des droits universels de la personne humaine et des libertés fondamentales d’autrui. En aucun cas la tolérance ne saurait être invoquée pour justifier des atteintes à ces valeurs fondamentales. La tolérance doit être pratiquée par les individus, les groupes et les États.

Nous sommes appelées à enseigner la tolérance et à la pratiquer à longueur de notre vie. Tout comme l’injustice et la violence caractérisées, la discrimination et la marginalisation sont des formes courantes d’intolérance. L’éducation à la tolérance doit viser à contrecarrer les influences qui conduisent à la peur et à l’exclusion de l’autre et doit aider les jeunes à développer leur capacité d’exercer un jugement autonome, de mener une réflexion critique et de raisonner en termes éthiques. La diversité des nombreuses religions, langues, cultures et caractéristiques ethniques qui existent sur notre planète ne doit pas être un prétexte à conflit ; elle est au contraire un trésor qui nous enrichit tous.

Comment pratiquer la tolérance ?

Conformément au respect des droits de l’homme, pratiquer la tolérance ce n’est ni tolérer l’injustice sociale, ni renoncer à ses propres convictions, ni faire de concessions à cet égard. La pratique de la tolérance signifie que chacun a le libre choix de ses convictions et accepte que l’autre jouisse de la même liberté. Elle signifie l’acceptation du fait que les êtres humains, qui se caractérisent naturellement par la diversité de leur aspect physique, de leur situation, de leur orientation sexuelle, de leur idéologie politique, de leur mode d’expression, de leurs comportements et de leurs valeurs, ont le droit de vivre en paix et d’être tels qu’ils sont. Elle signifie également que nul ne doit imposer ses opinions à autrui.

Il va sans dire que la tolérance repose sur la reconnaissance de la liberté, avec toutes les conséquences que cette reconnaissance implique. Certes la présence de la limite est indispensable : il n’y a pas de tolérance sans refus résolu de l’intolérable sous ses diverses formes historiques et sociales. Mais à l’intérieur des limites toujours redessinées, se montrer tolérant c’est accepter de ne pas chercher à imposer, par la force ou la ruse, les valeurs auxquelles on adhère, en d’autres termes c’est consentir à entrer dans le régime de la discussion, de la persuasion. Dans l’acte quotidien de l’éducation des jeunes, qu’ils soient nos enfants ou ceux qui nous sont confiés, l’éducation à la tolérance passe donc à la fois par l’apprentissage de la nécessaire limite et par l’effort pour préférer la discussion, fût-elle passionnée, aux pressions ou à la violence dans la diversité de leurs formes. Il est beau d’être tolérant, parce qu’il est difficile d’être véritablement tolérant. La violence au service de nos convictions les plus chères est une immense tentation, c’est pourquoi l’éducation à la tolérance, l’effort pour surmonter la violence, comptent parmi nos nobles tâches.

 

Quel type de société pourrions-nous avoir si nous réalisions une culture de paix ?

 

Comme le Directeur général de 1’UNESCO l’indique, la tolérance fait partie intégrante du respect des droits de l’homme et de l’instauration de la paix, et elle leur est indispensable. Sous sa forme la plus simple et la plus fondamentale, la tolérance consiste à accorder aux autres le droit de voir leur personne et leur identité respectées. Les valeurs politiques et sociales modernes dont sont issues les normes internationales actuelles en matière de droits de l’homme furent d’abord formulées dans un appel à la tolérance en tant que condition essentielle du maintien de l’ordre social.

 

Les penseurs politiques occidentaux mirent en évidence la nécessité de la tolérance pour une société qui ne pouvait plus tolérer l’intolérance et les déchirements des guerres de religion des XVIe et XVIIe siècles. Reconnaître que la tolérance était un facteur fondamental de la paix entre les nations fut un élément important du climat historique qui aboutit aux premières déclarations modernes des droits couronnés trois siècles plus tard par la Déclaration universelle des droits de l’homme. Dans ce texte, les Nations Unies ont défini les caractéristiques de l’ordre mondial pacifique qu’elles appelaient de leurs vœux sous la forme de droits, revendications fondamentales que tous les êtres humains devaient pouvoir présenter à la société.

 

Qui peut contribuer à l’éducation pour la tolérance ?

 

Chaque élément de la société peut contribuer à l’éducation pour la tolérance et chaque citoyen ou membre d’organisation locale peut établir des programmes d’action pour évaluer et aborder les problèmes d’intolérance rencontrés dans la localité et dans la population qu’il desserve. Quel que soit celui qui s’apprête à dispenser une éducation pour la tolérance, qu’il s’agisse d’une organisation communautaire, d’un système scolaire ou d’un enseignant isolé, il devra évaluer et prendre en compte le degré et la nature de l’intolérance qui peut exister dans le milieu considéré. Des indicateurs ou symptômes de l’intolérance peuvent servir d’instruments d’évaluation et de base pour un enseignement sur la tolérance.

 

La tolérance est un sujet complexe et controversé. Les gens qui se donnent pour tâche de l’instaurer se heurteront à de multiples problèmes, qui tiennent non seulement aux situations d’intolérance exposées précédemment, mais aussi à des idées et des perceptions de la tolérance variées et contrastées qui peuvent en obscurcir le sens et aux conditions sociales qui font apparaître la tolérance comme un but presque inaccessible. Cependant, beaucoup de citoyens sont optimistes et considèrent qu’il existe des possibilités d’établir une société tolérante, et ils s’emploient concrètement à les exploiter. Cela ne nous empêche pas de nous demander, du train que ça va, que peut-on espérer ?

L’entraide: un phénomène quotidien


Par Rosie Bourget

 

Peu importe les époques, l’entraide reste une valeur importante pour l’avancement de la race humaine. L’entraide est un concept que nous faisons souvent sans jamais l’avoir appris, c’est comme un muscle, plus on l’utilise, plus il devient fort. Aussi étrange que cela soit, bien des gens paraissent ignorer que l’entraide permet de développer les compétences individuelles et qu’elle favorise des rapports de coopération et de participation démocratiques. S’entraider, est un bon moyen pour nous les humains de se protéger. De plus, sans entraide nous n’aurions pas une société aussi avancée.

Par définition,  l’entraide c’est: « aide qu’on se porte mutuellement ». Cependant, notre société nous lance très jeune dans une compétition les uns envers les autres. Certains supportent très bien cet environnement et livrent une féroce compétition à leurs pairs. D’autres s’écroulent rapidement dès leurs premiers pas dans cet environnement et n’acquerront jamais un esprit compétitif. Nous connaissons des gens qui sont en compétition constante dans leur vie personnelle et professionnelle. Souvent, ils ne connaissaient que la loi du plus fort ou la loi de jungle. Pour eux, seuls survivent ceux qui sont capables de s’élever au-dessus des autres par élimination de la compétition, ou capables de marcher sur la tête des autres, généralement sans scrupule, pour se hisser au sommet de la pyramide.

Cultiver la solidarité

Nous entendons souvent parler de solidarité, par contre, nous le mettons pas en pratique. Se sentir solidaire, c’est d’abord aimer son prochain et accepter de l’aider. La solidarité est utile à la société, car elle la rend plus équilibrée et sereine. Elle est aussi bénéfique à l’individu dans sa vie quotidienne. La solidarité est le comportement qui garantit un soutien en cas de difficulté. Quand on est solidaire, on n’est jamais seul devant les situations de détresse. On se sent entouré, encouragé, aidé. Apporter de l’aide, soutenir les plus faibles, encourager ses semblables est une application de la loi de l’amour. Tout le monde a besoin de quelqu’un dans la vie, et cela dès la naissance. Il est donc indispensable que les hommes s’aiment entre eux et s’entraident.

La solidarité est un moyen de garantir la stabilité d’une société. En effet, elle permet d’offrir à chacun les moyens de vivre correctement. Aucun individu ne peut vivre sans la chaleur humaine. La solidarité n’empêche pas la réussite individuelle. De même que vivre dans l’aisance ne doit pas faire oublier ses semblables.  La solidarité est basée sur l’entraide. S’entraider, c’est apporter de l’aide et recevoir en  retour une autre aide ou de la reconnaissance. En étant solidaire avec les autres, vous contentez votre âme et vous l’illuminez. La solidarité est une boucle, vous pourriez un jour être à la place de celui qui a besoin d’aide. Il est donc important de cultiver des habitudes de solidarité dans entourage et dans la société.

Pour le progrès moral de l’homme, le grand facteur commun est l’entraide et non pas la lutte. L’entraide et la solidarité ont davantage contribué à la création et la prospérité des sociétés humaines que la compétition de chacun contre tous. Si l’entraide exerce une influence bénéfique sur la société, c’est parce que des individus ayant en commun un certain nombre d’expériences, de capacités, de savoirs ou d’objectifs unissent leurs forces pour obtenir un résultat.

JE PENSE À TOI


Par Rosie Bourget

C’est certain,

Il n’y a plus de doute mon copain,

Tu occupes une place dans mon cœur.

 

Au début j’avais peur

Mais pour l’heure,

C’est toi qui fais battre mon cœur.

 

Je me suis dit hier en buvant une bière,

Que mon amour pour toi n’a pas de frontières,

Et il n’y a pas moyen de faire marche arrière.

 

Tu es le centre de mon univers

L’eau qui fait fleurir mon parterre

Le seul homme qui me donne goût à la vie

Qui fait renaître mes rêves et mes envies.

 

Tu es l’ombre qui me suit toute la journée

Depuis que je t’ai déniché,
Tu obsèdes mes pensées

Je n’arrête pas d’être émerveillée.

 

Malgré la distance

Il n’y a pas de différence

Entre le  jour et la nuit,

Car même après minuit,

« À toi je pense » !

 

JE ME SOUVIENS


Par Rosie Bourget

Je me souviens de cet inoubliable vendredi soir

Je me souviens de ce précieux moment

Dans mon appartement

Où, sans rester les bras croisés

L’on a échangé notre premier baiser.

 

Je me souviens du café noir

Que je t’ai apporté au lit ce samedi matin

Je me souviens de ce maïs moulu noir

Que nous avons dégusté ensemble à belles dents

Je me souviens de ce jus de papaye au lait

Je me souviens des câlins du matin

Pour me réveiller du bon pied

Je me souviens du petit déjeuner sain

Pour bien démarrer la journée.

 

Je me souviens de ce menu de la Carreta

Qui n’était pas appétissant

Je me souviens de notre petit tour à Bayside

À bord du petit bateau rouge.

Oh la la, que de gâteries !

Que de bons moments !

Que de souvenirs !

 

CELEBRATING YOUR CHRISTENING


By Rosie Bourget

Dedicated To My Grandbaby Skylar

Today is such a special day

So special in every way

As a Grandparent standing here today

I cannot find enough words to say

 

Skylar,

You’ve been a special blessing

Since the day that you arrived,

Bringing so much happiness

Filling our hearts with pride.

 

Skylar,

Today is your christening

Today is also the beginning
Of a future warm and bright
Filled with love and joy
And many years of pure delight.

 

Skylar,

You are precious and sweet

On your baptism day

May angels guide your feet
And may the heavenly Father
Always keep you in his care.

 

Skylar,

As your Grandmother,

I am honored and blessed.

To be part of your life

For you, I will never be far away

I’m only a phone call away.

 

 

Sunday June 19, 2016

 

L’Importance de la Chaleur Humaine


Par Rosie Bourget

 

«À un certain moment, dans la vie de chacun, le feu intérieur s’éteint. Il peut être ravivé par la simple rencontre avec un autre être humain. » Dr Schweitzer

Nous souffrons tous un jour ou l’autre de stress, de dépression ou d’anxiété. Face à une situation stressante ou un événement traumatisant qui émet des signes physiques qui nous avertissent d’un danger potentiel tel, palpitations cardiaque, la sensation d’avoir des papillons dans l’estomac, agitation, de consommation d’alcool et de drogues, d’impuissance; et la perte d’intérêt ou de plaisir à faire des activités ou un passe-temps qu’on aimait auparavant…pour ne citer qu’eux. Si les troubles s’installent, ou provoquent des crises d’angoisse, un système de support ou un réseau de gens et d’amis qui nous soutiennent le moment voulu s’impose pour éviter des idées suicidaires et de nous laisser patauger dans les obstacles qui nous empêchent d’être heureux, authentiques, connectés et de profiter pleinement du moment présent.

Nous sommes de plus en plus souvent face à des situations de solitude dans notre vie de tous les jours. Les activités qui deviennent de plus en plus trépidantes et routinières, nous ont coupées de la chaleur humaine pourtant essentielle à notre bonheur. Les raisons qui sont à l’origine de cette coupure sont nombreuses : La notion d’obligation inhérente à l’affectivité existant dans les liens familiaux a complètement disparu. On ne se donne plus la peine de se retrouver entre amis pour bavarder et se rappeler de bons souvenirs. On se laisse souvent prendre par le travail et les nouvelles technologies qui nous empêchent de communiquer face à face avec les gens qui nous sont chers, nous privant par le fait même d’un besoin inhérent à l’être humain.

Il est tout à fait normal et nécessaire de vouloir partager avec les autres et de sentir une connexion avec notre entourage. Ces rencontres peuvent tenir lieu d’aide-mémoire nous rappelant l’importance de la chaleur humaine. Par exemple, quand un proche vient passer quelques jours chez nous, qu’il nous prend dans ses bras, qu’il nous dit bonjour le matin au réveil, comment s’est passé la journée quand on rentre du travail le soir…on se sent revivre. Idem quand notre petite fille/nièce en vacances chez nous, qui nous demande si elle peut encore avoir de la pizza ou des hamburgers à midi, qui rit à gorge déployée en regardant des dessins animés, qui veut une histoire et un câlin avant de se coucher.

Donc on se rend compte que dans ces moments-là, toute la tristesse qu’on a d’être seul (e) s’envole et que dans le célibat, le deuil ou après un divorce ce qui nous manque,  ce n’est pas seulement le disparu, un homme ou une femme, mais aussi et surtout tout simplement la présence d’un être humain.  Pour  supporter ce manque physique, il y a des gens qui n’ont pas d’autres recours qu’ils sont arrivés au stade où, même aller chez le dentiste devient une réjouissance, un passe-temps favori.

Lien entre bonheur et chaleur humaine

Un sourire, des paroles échangées avec des gens qui nous sont affectivement étrangers procurent beaucoup de bonheur. Le sentiment de sécurité : il est opposé au malaise de la solitude. Le monde nous semble donc moins hostile. La nature a horreur du vide, Nous avons tous besoin de sentir la chaleur humaine autour de nous pour que la vie soit plus belle. Des gestes simples d’entre-aide et d’échange réels permettent d’en distribuer autour de soi. Que nous en soyons l’objet ou l’auteur, ils ajouteront quelques pierres à l’édifice de notre bonheur. On constate que  plus le monde a évolué et plus l’échange spontané a disparu ainsi que notre vision des autres.

Un conseil salutaire à nos lecteurs à l’état dépressif

L’ironie du sort c’est que vous n’êtes pas seul dans cette tristesse, nous avons tous des traumatismes à surmonter. Nous avons souvent mille raisons de nous sentir délaissé, de ne pas avoir le moral. Quel que soit les circonstances, aimez-vous follement et prenez soin de vous. Gardez à l’esprit que rien n’est absolu sur cette planète. Ne dites pas que vous n’êtes pas capable d’y arriver. Dites-vous plutôt que vous êtes extraordinaire, magnifique, rempli de talents, de potentiel, d’amour et de compassion et que vous méritez une vie construite de relations saines, de vitalité contagieuse et d’abondance illimitée.

Changez votre univers en développant votre propre réseau social (mais attention, cela doit se faire en dehors de Facebook, Twitter, Instagram, Tag etc.) avec des personnes réelles que non seulement vous vous sentez à l’aise et qui vous apprécient à votre juste valeur, mais aussi qui n’ont l’intention de vous rabaisser ni de vous ironiser.

Pour la majorité des gens la raison pour laquelle ils n’éprouvent plus la joie de vivre, c’est parce qu’ils n’ont pas encore essayé assez des activités où l’on peut trouver des raisons d’être heureux. Si vous n’avez pas trouvé quelque chose qui vous stimule vraiment l’appétit (nous ne parlons pas de l’appétit sexuel), essayez de nouveaux trucs, rencontrez de nouvelles personnes, et allez vers de nouvelles expériences. A signaler que pour la plupart d’entre nous c’est assez facile à dire mais difficile à exécuter. Toutefois, pour parodier les français, « l’Essayer c’est l’adopter ».

Osez essayer de nouvelles aventures sans pour autant risquer votre vie même lorsque l’adage dit « Qui ne risque rien n’a rien. » Profitez de la saison pour passer du temps avec  vos amis, pour avoir ensemble des moments de convivialité. Il importe qu’ils soient dans les mêmes dispositions que vous, dans leurs attentes et leur sincérité.

La vie nous tient toujours en mouvement avec son lot de surprises. La rencontre d’amis pour pratiquer des loisirs, des sports, des activités culturelles, déguster des grillades ou barbecues dans une ambiance décolletée et chaleureuse offre la possibilité de partager de bons moments, des émotions, et de tisser des liens avec des personnes de qualité qui vont vous aider avec leur dynamisme et leur sourire, à maintenir la flamme vivante, à retrouver et à garder le moral et à redevenir optimiste autour de valeurs qui nous réunissent, qui font de nous des humains. Les activités culturelles ou sportives sont une bonne façon d’enrichir sa vie avec des expériences quelquefois étonnantes, mais toujours enrichissantes sur le plan des relations humaines. Servez-vous de ces outils souvent sous-utilisés pour trouver la gaité et la satisfaction de petits bonheurs qui vous aident à vous remettre sur le piton.

On offre et on reçoit 

Du fait même de sa définition, la chaleur humaine permettra d’ensoleiller les vies de ceux qui nous entourent. Et même dans un cadre particulier, elle suffira à apaiser des situations : victimes de violence, suicidaires, dépressifs, couples en conflit etc. Rien ne se fait à sens unique. Avec la chaleur humaine, on est toujours dans une relation de donner/recevoir. C’est-à-dire, qu’en donnant, on partage un moment, parfois même un instant très court de bonheur. Qui n’est pas heureux de recevoir un sourire en retour du sien ! On offre et on reçoit, le plus souvent. C’est ainsi que s’équilibrent ces relations qui ne sont pas ternies par une relation d’affectivité qui la rende plus compliquée.

Nos souhaits à vous pour l’été

Quel genre de conseillère serions-nous si nous ne mettions pas d’abord en pratique ce que nous enseignions? Comment arriver à des résultats si on ne peut appliquer par nous-même tous ces trucs, stratégies et astuces? Nous croyons que nos enseignements à ce moment n’auraient aucun sens et que nous ne serions pas en mesure de bien diriger les gens, tant bien que mal (malgré nos limites) vers un meilleur équilibre dans leur vie.

Cela va sans dire, il y a des moments où on ne trouve pas de sens agréable à sa vie. Par contre, nous sommes tous des guides et des élèves en même temps. Et nous savons que tout le monde, quel que soit son statut social et économique a besoin de chaleur humaine, de compréhension, d’écoute, d’amour, de compassion et une épaule pour s’appuyer. Avec tout notre amour et toute notre attention, recevez de notre part une petite tape sur l’épaule en vous souhaitant d’excellentes vacances d’été remplies de joie de vivre. Un de ces quatre, nous espérons voir apparaître sur votre visage le plus beau sourire. La joie est ce qui rend la vie plus belle, c’est elle qui nous amène à surmonter les défis et les obstacles, et permet d’éclairer notre quotidien.

r_bourget@yahoo.com

MTS (Maitrise en Travail Social)

 

Bonne Fête des Pères À Un Père Hors Pair


 

Par Rosie Bourget

 

Ce n’est pas la fête des pairs

Mais plutôt la fête des pères

Rien ne saurait égaler l’amour d’un père

 

Un homme extraordinaire

Qui excelle dans son rôle de père.

Quel bonheur de fêter cette perle hors pair

 

Dont la valeur est incontestable

Un papa remarquable

Dont l’amour est inestimable !

 

Tendre, modeste et dévoué,

Affectueux et attentionné,

Je profite de cette belle journée

 

Qui t’es destinée

Pour te rappeler

Combien tu es apprécié

 

Et te souhaiter

Autant de bonheur et de joie

Que tu répands autour de toi.

 

Rb

 

Juin 2016

Félicitations à tous les finissants et diplômés!


Par Rosie Bourget

Que c’est beau de porter sa toge, monter sur l’estrade pour récupérer son diplôme, donner la main au recteur, de se retrouver pour une manifestation officielle et conviviale !

La remise des diplômes est un moment privilégié de partage entre diplômés, familles et professeurs. Du coup, c’est un moment solennel qui signifie reconnaissance et concrétisation du travail achevé tout au long du parcours universitaire.

Pour certain, l’obtention d’un diplôme est le début d’une ère nouvelle, pour d’autres c’est le début d’une descente aux enfers. Surtout aux États-Unis, particulièrement en Floride où, ce sont les « LATINOS » qui dominent le marché du travail. Quoi qu’il en soit, il est essentiel que vous ne perdiez pas espoir.

Après des années de travail acharné, vous venez d’obtenir votre ultime récompense. Maintenant que les carottes sont cuites, le moment est venu de célébrer votre accomplissement et votre entrée dans le monde réel .

Qu’il soit un doctorat, une maitrise, une license, ou un certificat de fin d’études secondaire ; je vous souhaite tout le meilleur pour votre future carrière et vous félicite pour votre belle et grande réussite.

Rb

 

7 juin 2016

 

A Baby On The Way?


By Rosie Bourget

 

Marilyn,

You should be happy

That you are having a baby

Because it’s a gift from above

And a precious son for you to love.

 

Marilyn,

You should be glad

You are having a boy

Who will shower Mom and Dad

With so much joy.

 

Marilyn,

You name him Ellis Mason

Because he is your handsome son

I know you can’t wait for him to arrive

So you can watch him thrive.

 

Marilyn,

You thought you wouldn’t have another one

But life with your new little one

Has just begun

So, have fun!

 

Marilyn,

Chill, the empty space is filled

You’ll be your baby’s best friend

Aren’t you thrill

Your pregnancy is coming to an end?

Congratulations my friend.

 

Rb

 

5/27/2016

 

Protéger la Terre


Par Rosie Bourget

 

Quelle affaire

Comme elle est sans frontière

Notre belle terre !

Si en promenant au bord  de la mer

Je prends de l’air

Si dans mon univers

Je fais de beaux vers

C’est grâce à la terre.

 

La terre,

Quelle affaire !

Même en hiver

Je me sens fière !

Si nous voulons garder notre terre

Si nous voulons que la terre

Nous soit légère

Qu’elle ne soit pas une descente aux enfers

Il faut faire attention à l’effet de serre

Qui entoure l’atmosphère.

 

La terre,

Ce n’est pas un fait divers

Ni une petite affaire

Quand nous jetons des déchets par terre

Nous polluons la terre

La terre, hélas

A cause de ces pervers

Même les pommes de terre

s’en lassent.